Produits durable

Les déchets sont générés lors de la production et de la consommation de biens. Le retraitement de ces déchets dans le cycle de la matière par retraitement est appelé recyclage. Le terme "valorisation des matières" a la même signification.

Cependant, les déchets peuvent également être " récupérés " par d'autres moyens, par ex. par traitement énergétique ou thermique. Dans ce processus, les déchets sont gazéifiés ou brûlés et utilisés pour générer de l'énergie.

Le recyclage et la récupération d'énergie ne sont pas contradictoires. Les déchets sont utilisés pour extraire ce qui peut être recyclé et retraité en matières premières. Même avec tout le recyclage, il y a toujours des déchets qui doivent être utilisés d'une autre manière. La production d'énergie par combustion ou par gazéification est donc un moyen utile de l'utiliser, car elle permet de réduire l'utilisation de combustibles primaires tels que le charbon, le pétrole ou le gaz.

La norme DIN EN ISO 14021 sert de base à la définition du matériau de recyclage. Selon des critères spécifiques de cette norme, le matériau plastique peut être étiqueté comme "recyclat" une fois qu'il a été obtenu à partir de déchets plastiques "après son utilisation en tant que bien de consommation" (post-consommation) ou également en tant que déchet de plastique collecté dans d'autres branches de l'industrie (post-industrielle) et utilisé pour des produits nouveaux et différents.

Une bouteille de PET recyclée est un exemple typique de recyclage post-consommation. Les déchets non mélangés et inévitables provenant de branches industrielles, tels que les emballages en plastique pour composants destinés à un traitement ultérieur en ingénierie médicale, constituent un exemple de recyclage postindustriel.

Les produits récupérés via des systèmes de déchets appropriés sont traités en vue de leur recyclage à l'aide de processus appropriés (par exemple, pour le moulage par injection).

Les matériaux générés au cours d'un processus de fabrication technique par des composants de rebuts ou des canaux de coulée et réutilisés par retraitement ou restitution dans le même processus ne sont pas considérés comme des «produits recyclés». Ces déchets peuvent être évités et leur réutilisation ne doit pas être appelée ou étiquetée comme recyclage.

Selon la norme DIN EN ISO 14021, les deux types de recyclage peuvent être appelés "recyclage". Le recyclat post-industriel est généralement obtenu à partir de déchets plastiques de type et de couleur purs, qui ont été générés au cours du processus de production. inévitablement, elle peut être utilisée pour la fabrication de nouveaux produits aux exigences techniques ou optiques plus élevées. La pureté de la matière première du produit recyclé est souvent importante et peut avoir une influence considérable sur les caractéristiques de la cible.

Les produits recyclés post-consommation sont produits à partir de produits, d’emballages, de films, etc. usagés et mis au rebut. Un problème majeur est la grande variété de types et de couleurs de plastiques, qui ne peuvent souvent pas être séparés correctement. Cela réduit les possibilités d'utilisation de nouveaux produits techniquement exigeants ou de leurs propriétés.

Il n'y a pas de spécifications précises pour cela. Si toutefois une décision est fait sur le contenu recyclable, le pourcentage de matériau recyclé doit être indiqué (conformément à la norme DIN EN ISO 14021). Il existe des organismes de certification qui vérifient indépendamment le pourcentage de contenu recyclé. La norme DIN EN ISO 14021 régit également le terme "recyclage" et sépare le recyclage authentique de la réutilisation dans le processus.

Un plastique biosourcé provient de ressources renouvelables telles que la canne à sucre, le maïs ou l’acide lactique provenant de la fermentation de plantes.
En revanche, un plastique recyclé a généralement une origine pétrochimique et a toujours une " première vie " dans "sa première vie". Les produits de recyclage étaient déjà des produits ou des matériaux d’emballage avant d’être envoyés dans le système d’élimination des déchets pour être retraités dans les granulés de plastique recyclés. En le reprenant et en le transformant, il peut revivre "une deuxième vie" et ainsi devenir un nouveau produit. En d'autres termes, "

Les deux sont parfaitement raisonnables. Les deux manières de conserver les ressources ne doivent pas être mises en concurrence, car chacune d’elles est légitime. Le choix du matériau dépend fortement des exigences du produit résultant. Les produits fabriqués à partir de plastique biosourcé et donc de ressources renouvelables peuvent également être recyclés. De plus, le recyclage à l'infini n'est pas possible car la qualité du plastique diminue après chaque recyclage.

Il n'y a pas de réponse générale à cette question. La perte de qualité causée par le recyclage et la perte de qualité supplémentaire attendu d'un recyclage répété sont les critères de décision.

Pas dans notre intérêt. Etant donné que notre devise est d'utiliser des produits recyclés de haute qualité et testés pour les substances nocives, nous devons sélectionner des produits recyclés spécialement adaptés à partir de sources certifiées. Les plastiques recyclés nécessitent des processus de préparation et ne sont donc pas au meilleur prix que les nouveaux matériaux. Éviter autant que possible de ne pas gaspiller ou même ne pas en générer est le reflet de notre philosophie et cela nous tiens à cœur. C'est pourquoi nous utilisons du plastique recyclé par conviction et le proposons à nos clients sans frais supplémentaires.

Oui, il existe la norme DIN EN ISO 14021, qui régule une réglementation claire du terme "recyclage". Elle décrit également ce qui constitue un" véritable recyclage "et ce qui peut ou non être classé en tant que tel. Par exemple, la réintroduction de particules provenant du moulage par injection qui sont déchiquetées et renvoyées au processus de production ne peut pas être appelée recyclage. Malheureusement, nous observons encore et encore que, dans les déclarations publicitaires d'autres fabricants, cela n'est pas correctement décrit.

Non, car le traitement d'un produit recyclé nécessite beaucoup moins d'énergie que l'extraction du pétrole brut, qui constitue la matière première du plastique.

Le plastique est un matériau très polyvalent qui permet des solutions spécifiques à l'utilisateur. Pour les instruments d’écriture, par exemple, une densité et une stabilité élevées sont importantes pour une longue durée de vie, tout comme les surfaces qui sont confortables à tenir, les propriétés mécaniques, une variété de couleurs, etc. Enfin, le plastique est léger et économique, qui rend les stylos abordables pour tout le monde. Les options de recharge simples et propres que nous proposons pour bon nombre de nos produits garantissent la facilité d'utilisation illimitée de nos instruments d'écriture pendant plusieurs années.

"Nous avons toujours réintroduit les déchets de production provenant de nos propres opérations de moulage par injection dans le processus de production en les rectifiant à nouveau. La proportion de nos déchets récupérés est supérieure à 85%. Cependant, par définition, il ne s'agit pas de recyclage, mais d'une réutilisation dans le même processus et donc un gaspillage évitable.

En utilisant des matériaux recyclés, nous contribuons activement à la conservation des sources de plus en plus rares de matières premières et d’énergie. L'utilisation de matériaux recyclés dépend fortement des exigences du produit résultant. Les plastiques recyclés ne conviennent pas à toutes les exigences techniques et esthétiques. De plus, il faut veiller à ce que le matériau recyclé soit disponible en permanence en quantité et qualité suffisantes. "

Nous ne faisons aucun compromis sur la qualité de nos produits en plastique recyclé. Ainsi, nous imposons à ces produits les mêmes exigences qualitatives élevées que celles qui sont généralement appliquées par Schneider. Ce n'est que lorsque cela est garanti sans aucun doute que nous transformons des produits et des séries de modèles établis en série. Par exemple, un grand nombre de nos corps de marqueurs sont désormais fabriqués en plastique recyclé. Ceux-ci présentent les mêmes caractéristiques qualitatives élevées et donc la même durée de vie que leurs prédécesseurs en matières plastiques neuves conventionnelles.

Nous avons effectué des certifications indépendantes pour tous les plastiques de recyclage utilisés par des organismes de certification accrédités, qui confirment le contenu du produit recyclé.

Par exemple. bouteilles en PET, emballages cosmétiques, articles d’hygiène, films, pièces de réfrigérateur, produits médicaux, appareils électroniques ou déchets domestiques. Ceux-ci sont sélectionnés dans le flux de déchets en fonction de leur type et reconditionnés pour un traitement ultérieur.

Par la certification d'organismes de certification indépendants tels que DIN Certco et / ou EUCert-Plast.

Les plastiques recyclés utilisés pour nos produits sont dans certains cas pure en couleurs et peuvent donc être teints de manière brillante (par exemple, du PET). Cependant, il existe également des types de produits recyclés qui ne sont disponibles qu'en noir. Bien entendu, nous nous efforçons d'utiliser des sources de recyclage aussi pures et de couleur neutre que possible afin de créer des produits en série à partir de ceux-ci, qui ne sont en aucun cas inférieurs aux produits en plastique conventionnels. Nous satisfaisons ainsi aux préférences d’un large groupe cible et ne promouvons pas des "lignes écologiques" séparées.

L'élimination des instruments d'écriture en quantités normales pour les ménages peut être effectuée avec les déchets ménagers. Le plastique est ensuite recyclé ou utilisé pour générer de l'énergie thermique.

Le pourcentage de contenu recyclé se réfère toujours aux parties visibles du stylo. Cela signifie que le pourcentage diminue si les plastiques conventionnels sont également intégrés dans une partie quelconque du corps du stylo. Mais même si toutes les parties du corps étaient constituées de matériau recyclé, une indication à 100% serait trompeuse, car des matériaux auxiliaires ou de petites quantités de colorants sont toujours inclus dans le traitement.

Tous nos produits ont des exigences qualitatives particulières. Pour un fineliner ou un marqueur, il est essentiel que son encre soit protégée contre l'évaporation dans le corps. Pour un stylo à bille, il est important que son corps soit robuste et résistant à la rupture pour de nombreux changements de recharge. Ce n’est que si un matériau recyclé répond à ces caractéristiques essentielles pour une qualité sans compromis et si sa disponibilité et la régularité des lots sont assurées sur le marché qu’il est donc judicieux de l’utiliser. Cependant, certaines exigences techniques et fonctionnelles ne peuvent pas être satisfaites par l'utilisation de plastiques recyclés. Par exemple, nos embouts en plastique de haute précision dotés de canaux d'encre microscopiques ou de pièces fonctionnelles dotées de propriétés de glissement mécaniques (en POM, par exemple) ne peuvent pas être fabriqués en plastique recyclé.

Le BioPE, le BioPET, l'acétate de cellulose et le PLA sont, par exemple, des plastiques biosourcés.
Les matières premières renouvelables (MPR) constituent les matières de base des plastiques biosourcés. Il s'agit par exemple de l'amidon du maïs, du sucre provenant de la canne à sucre et des betteraves à sucre, des huiles végétales, telles que l'huile de ricin, de la cellulose du coton ou le bois.

Les bioplastiques désignent aussi bien les plastiques biosourcés que les plastiques biodégradables. Le terme « biosourcé » décrit de manière précise que les matières de base sont des matières premières renouvelables issues de la nature.

Il n'existe pas de données exactes. Il existe des systèmes de certification qui travaillent avec des spectres pour la part de carbone biosourcé contenu dans les matières.

Il existe des plastiques biodégradables et des plastiques durables. La biodégradabilité n'est pas une caractéristique automatique ou exclusive - certains plastiques issus de la pétrochimie peuvent également être biodégradables. Pour les produits d'une grande longévité, qui doivent rester résistants pendant des années dans toutes les conditions climatiques, la biodégradabilité après usage n'est pas réalisable du point de vue technique.

Le terme biodégradable signifie que la matière se décompose dans des périodes de temps calculables grâce à des processus biologiques, c'est-à-dire par voie naturelle. Cette définition est encore très générale. La question de la biodégradabilité d'une matière ou d'un produit doit obligatoirement s'inscrire dans le contexte d'autres facteurs, tels que le temps et les conditions environnementales. La décomposition peut avoir lieu, par exemple, dans le corps humain (matériel de couture chirurgical), à la surface des océans, sur les plages ou au fond des mers, dans la terre des champs agricoles, dans une usine de biogaz ou encore une installation de compostage. Il en résulte qu'il existe différents standards de contrôle et systèmes de certification correspondants qui distinguent, par exemple, entre un compostage industriel et un compostage domestique.

L'utilisation de matières premières renouvelables préserve les réserves pétrolières limitées et réduit les émissions de CO₂ (comparaison moyenne avec les matières premières conventionnelles à base de pétrole).

Selon les estimations des experts du secteur, la capacité de production mondiale de plastiques biosourcés et biodégradables est d'environ 2,27 millions de tonnes (European Bioplastics, 2018). En comparaison: En 2016, 335 millions de tonnes de plastiques conventionnels ont été produites (PlasticsEurope, 2017). L'Europe représente environ 11,6 % de la production de plastiques biosourcés et biodégradables, soit environ 263 000 tonnes (Institut des bioplastiques et des biocomposites, 2018). Ces capacités, à leur faible niveau, augmentent depuis quelques années. La part de marché varie selon les secteurs.

Nous observons de manière critique l'utilisation de pesticides et d'engrais pour l'amendement des sols, le recours au génie génétique ainsi que la consommation d'eau dans la culture de matières premières renouvelables. L'objectif pour l'avenir est donc d'assurer que les matières premières utilisées pour la fabrication de plastiques biosourcés soient issues d'une production agricole durable qui s'oriente aux critères écologiques. Force est toutefois de constater qu'une intensification continue de l'agriculture a eu lieu de manière générale depuis l'industrialisation dans le souci d'optimiser les rendements en ce qui concerne la culture de matières premières renouvelables pour tous les domaines d'application, tels que produits alimentaires consommés et non consommés, matières fourragères, ressources énergétiques, textiles etc...

Seuls les plastiques qualifiés de biodégradables peuvent être compostés. Le compostage industriel contrôlé doit satisfaire aux exigences de la norme EN 13432 et remplir ainsi des conditions qui ne se retrouvent pas dans la nature. Dans la nature, le plastique biodégradable ne se décompose que très lentement. La durée du processus varie selon l'épaisseur des produits et dépend des conditions climatiques.

Le BioPE et le BioPET issus de matières premières renouvelables peuvent être détectés, recyclés et valorisés dans le circuit de recyclage tout comme le PE et le PET traditionnels issus de la pétrochimie.

Concernant les nouveaux plastiques biosourcés, le PLA par exemple, des systèmes de recyclage sont déjà en cours de développement. Schneider travaille également à la revalorisation durable du PLA en coopération avec l'IfBB (Institut des plastiques biosourcés et des matériaux composites bio), la Hochschule de Hanovre et d'autres partenaires dans le cadre d'un réseau de recherche. Il existe déjà une entreprise de recyclage en Allemagne qui est en mesure de séparer les déchets de PLA collectés par le système dual des autres matières.

Le plastique est une matière très diversifiée qui permet des solutions spécifiques à l'utilisateur. C'est ainsi qu'une densité et une stabilité élevées sont importantes pour une longue durée de vie des instruments d'écriture tout autant que pour des surfaces agréables au toucher et une riche palette de couleurs. D'autre part, le plastique est une matière légère et bon marché qui rend le prix des stylos abordable pour chacun. Les possibilités de remplissage simples et propres que nous proposons pour un grand nombre de nos produits garantit l'utilisation illimitée de nos instruments d'écriture pendant plusieurs années.

À vrai dire, le plastique biosourcé n'est pas une nouvelle invention. Le premier plastique produit industriellement (1869) était un celluloïd bioplastique. Ce n'est que plus tard, au début du 20e siècle, que furent découverts les premiers plastiques issus du pétrole et utilisés jusqu'à ce jour. Ces plastiques avaient l'avantage d'être moins chers et le développement se concentra alors sur ceux-ci.

Cela devra et va changer dans les années à venir, car le pétrole est une ressource limitée et l'objet de spéculations et de crises. De plus, l'exploitation du pétrole pose des problèmes extrêmement graves pour l'environnement, la fracturation hydraulique par exemple. Dans le contexte de ce changement, l'objectif suprême est d'obtenir avec les plastiques biosourcés issus de matières premières renouvelables toutes les excellentes propriétés d'usage habituelles des plastiques issus de la pétrochimie et d'économiser les ressources limitées.

Non Nos instruments d'écriture en plastique biosourcé n'ont pas de désavantages par rapport aux instruments d'écriture en plastique traditionnel issu de la pétrochimie. Ceci parce que les plastiques biosourcés ont été développés et adaptés spécialement pour nos applications.

Depuis 2010, il y a en Allemagne la possibilité de faire certifier un produit biosourcé par des organes indépendants À cet effet, l'organe de certification DIN CERTCO a introduit le sigle de qualité « DIN-geprüft biobasiert ». La part de carbone biosourcé est déterminée par la méthode C14 normalisée et reconnue à l'échelle internationale (Norme CE CEN/TS 17137, norme américaine ASTM 6866). Nous avons effectué cette certification indépendante pour tous les instruments d'écriture en plastique biosourcé.

Le développement de plastiques biosourcés n'est pas encore achevé. À ce jour, les matières premières nécessaires à la production de ces plastiques ne peuvent pas encore être toutes des matières premières renouvelables. C'est pourquoi il y a également des plastiques biosourcés qui, aujourd'hui encore, ne peuvent être produits que partiellement à partir de matières premières renouvelables. L'augmentation de la part biosourcée est également un objectif du développement à venir des plastiques biosourcés que nous utilisons.

Les plastiques biosourcés adaptés à nos applications peuvent recevoir une couleur brillante malgré la part de MPR élevée. Nous utilisons à cet effet des colorants développés spécialement pour nos besoins et couvrant un large spectre de teintes. Nos produits en plastique biosourcé satisfont ainsi aux goûts de nombreux clients et ne sont donc pas des produits-créneaux.

Nous utilisons de nombreux types de plastiques différents. Le passage à des types de plastiques biosourcés demande un travail de développement intense. Les types de plastiques biosourcés ne possèdent pas toutes les propriétés requises pour les appareils d'écriture, par exemple le barrage au dessèchement des encres. Nous avons actuellement d'autre appareils d'écriture en plastique biosourcé en cours de travail qui vont venir compléter notre programme.

Il ne faut pas mettre en concurrence les deux façons de préserver les ressources, car chacune a sa raison d'être. Leur utilisation dépend fortement des exigences posées au produit qui en résulte. Outre les matières plastiques biosourcées, nous utilisons de plus en plus de matières plastiques recyclées pour les corps et les composants des instruments d'écriture. De plus, les plastiques biosourcés peuvent également être recyclés de la même manière que les plastiques conventionnels.

L'élimination des instruments d'écriture en quantités usuelles dans les ménages peut se faire avec les ordures ménagères. Le fait que le corps soit en plastique biosourcé ne joue aucun rôle. L'élimination du plastique permet soit de le recycler, soit de l'utiliser pour produire de l'énergie thermique. Dans ce cas, seul le CO₂ stocké par la nature est libéré ou, en d'autres termes, de l'énergie neutre en CO₂ est produite.

Les potentiels du plastique biosourcé sont grands. Nous utilisons aujourd'hui déjà des plastiques biosourcés et contribuons à faire évoluer leur fabrication optimisée. Pour ce faire, nous travaillons en collaboration étroite avec les institutions de recherche telles quel' lfBB Institut des bioplastiques et biocomposites de l’Université de Hanovre.

Les projets de protection climatique permettent de réduire les émissions de gaz à effet de serre, par exemple grâce á la reforestation ou aux énergies renouvelables. Des organisations indépendantes telles que TÜV, SGS, PwC entre autres contrôlent le montant exact des économies. L'opérateur du projet peut financer le projet en vendant des réductions d'émissions certifiées. Seuls les projets nécessitant un soutien financier sont reconnus en tant que projets de protection climatique.

Les produits et les entreprises peuvent apporter une contribution financière volontaire au climat en calculant les émissions de CO₂ inévitables (qui entrent dans la composition du produit et qui proviennent des processus de l'entreprise, selon les scopes 1, 2 et 3) et en les compensant par le soutien de projets de protection du climat reconnus au niveau international.

Nous proposons déjà de nombreuses séries de produits finançant une contribution au climat sans frais supplémentaires pour nos clients (entre autres notre série Slider ou notre série One). En outre, notre gamme complète de stylos publicitaires apporte une contribution financière au climat (toutes les émissions inévitables sont compensées). Actuellement, Schneider soutient entre autres un projet certifié de protection climatique pour l'énergie éolienne, Tuppadahalli en Inde (lien vers le projet) et Ombepo en Namibie (lien vers le projet) ainsi qu'un projet de protection des mers (lien vers le projet).

Il suffit de retirer le couvercle du refill station (flacon de recharge) et d'insérer la pointe du marqueur correspondant dans l'ouverture prévue à cet effet. Il est préférable de le laisser toute la nuit dans le flacon, afin que le réservoir à l'intérieur du marqueur puisse à nouveau s'imprégner d'encre. 1 flacon suffit pour environ 8 à 10 recharges.

Définitivement non ! L'élevage respectueux des espèces et la protection des animaux nous tiennent à cœur ! C'est pourquoi, chez Schneider, nous excluons catégoriquement de tester nos produits sur les animaux, ne serait-ce que par conviction (nous avons notamment lancé l'année dernière un projet d'hôtels pour abeilles sauvages avec nos apprentis). Chez nous, nos produits sont testés exclusivement à l'aide de méthodes de test alternatives pour vérifier leur aptitude à l'usage quotidien, leurs propriétés et leur durée d'utilisation, conformément aux directives en vigueur en matière de protection des consommateurs.

Nous pouvons garantir qu'aucune matière première animale directe n'entre dans notre recherche et développement ni dans la production des produits Schneider. Schneider utilise de plus en plus de matières premières végétales, comme par exemple des plastiques ou des colorants biosourcés, dans la mesure des possibilités et du progrès technique. En outre, nous exigeons de nos fournisseurs de matières premières une déclaration ADC, c'est-à-dire une confirmation qu'aucun composant d'origine animale n'est utilisé. Pour une grande partie de nos matières premières, cela peut également être confirmé. Nous ne pouvons toutefois pas garantir à 100% que les matières premières et auxiliaires utilisées pour la fabrication de nos matières premières sont exclusivement végétaliennes (étant donné que nos fournisseurs et leurs sous-traitants ne peuvent pas non plus exclure avec certitude toute influence d'origine animale dans les matières premières/auxiliaires).

Les encres biosourcées sont principalement fabriquées à partir d'eau et de matières premières renouvelables. Contrairement aux matières premières à base de pétrole traditionnellement utilisées, les matières premières biosourcées, issues de plantes renouvelables, fixent le dioxyde de carbone, un gaz à effet de serre. Les encres biosourcées apportent donc une contribution positive à la protection du climat.

Notre engagement en faveur de la durabilité se reflète également dans le développement de nos encres. Par exemple, les ingrédients des encres que nous avons développées dans notre surligneur durable Job sont composés à plus de 60 % de matières premières végétales (par rapport à la part totale de carbone). Nous appuyons cette affirmation sur des preuves fournies par un laboratoire d'essai reconnu par DIN CERTCO.